Avocat spécialiste du droit de la famille à Genève

L'Étude

Maître Guillaume Choffat est avocat spécialiste en droit de la famille. Il fait de la défense de vos intérêts une priorité. Il met un point d’honneur à vous accompagner avec intégrité, confiance et humanité. Il vous assiste auprès des juridictions compétentes à Genève et dans d’autres cantons : Vaud, Fribourg, Neuchâtel et Valais.

La vision et la philosophie de l’étude est de répondre à vos attentes, défendre vos intérêts avec réactivité, proposer un suivi de proximité et qualitatif. L’étude vise à privilégier les solutions efficaces et pragmatiques, les accords à l’amiable et le règlement des conflits de manière réfléchie et concertée avec vous.

Ses priorités et sa philosophie : répondre aux attentes des clients, défendre leurs intérêts, leur offrir un suivi de proximité et de qualité, privilégier les solutions efficaces et pratiques, rechercher des transactions et des accords amiables et aborder les conflits et la violence, autant que faire se peut, au travers d’une approche réfléchie et concertée avec les clients.

Domaines du droit de la famille

Me Guillaume Choffat vous accompagne dans vos procédures concernant le droit de la famille.

Divorces & Séparations

Régimes matrimoniaux & Séparation de biens

Droits de l'enfant & Protection des mineurs

Protection de l'adulte

Avocat en droit de la famille, un engagement

L’Étude s’engage à fournir, en concertation avec ses clients et sur la base de stratégies discutées avec ceux-ci, ses meilleures ressources pour obtenir les meilleurs résultats possibles, au moyen du cadre légal à disposition.

Qu’est-ce qu’une famille ?

La notion de famille connaît une évolution constante et consiste en une constellation de liens entre les divers membres d’une famille, au sens étroit ou élargi (parents, grands-parents, enfants, oncles, tantes, cousins, cousines, alliés, etc.). La famille place au centre de ses priorités des aspects de conjugalité, de parentalité et de filiation, ainsi que toutes les responsabilités qui en découlent. La famille concerne ainsi les couples mariés ou non mariés (concubins), partenarisés, séparés ou divorcés, avec ou sans enfants, ainsi que les familles dites recomposées.

En quoi consiste le droit de la famille ?

Le droit de la famille est réglé par de très nombreuses dispositions du Code civil qui fixent le cadre de l’ensemble des relations personnelles, patrimoniales et alimentaires des membres au sein d’une même famille, tout particulièrement en vue de définir les droits et les devoirs existant entre conjoints, concubins et partenaires, ainsi qu’à l’égard des enfants. Dans ce cadre, il vise à résoudre les questions liées au droit du mariage, du partenariat enregistré, du concubinage, du divorce et des mesures protectrices de l’union conjugale.

Du point de vue des avocats et des juges qui pratiquent le droit de la famille, ce domaine du droit est gouverné principalement par les principes de « pluridisciplinarité » et de « l’intérêt supérieur de l’enfant ». Ces principes permettent de guider tant les tribunaux que les avocats et leurs clients (les parties) pour parvenir à mettre en évidence ce que commande le bien des enfants, c’est-à-dire trouver la meilleure solution pour sauvegarder l’intérêt des enfants.

Le droit de la famille comprend ainsi de nombreux critères pour l’attribution de la jouissance du domicile conjugal ou du logement de famille, calculer et fixer les contributions d’entretien entre époux ou ex-époux et à l’égard des enfants et répartir les droits parentaux sur les enfants (autorité parentale conjointe ou exclusive, garde alternée ou exclusive, droit de visite usuel ou élargi).

Sur un plan plus technique et patrimonial, le droit de la famille englobe aussi toutes les dispositions qui doivent permettre : de constituer, dissoudre et liquider les avoirs constituant les régimes matrimoniaux (le régime matrimonial ordinaire et légal de la participation aux acquêts ou des régimes choisis par contrats de mariage, à savoir la séparation de biens ou la communauté des biens), ainsi que les rapports patrimoniaux entre les époux, concubins et partenaires ; de partager les avoirs de prévoyance professionnelle acquis pendant le mariage.

Enfin, le droit de la famille comprend également toutes les règles du droit de la filiation qui définissent comment établir ou défaire un lien de filiation (adoption, reconnaissance de paternité, action en paternité, action en contestation de la reconnaissance de paternité, action en désaveu de paternité), les dispositions sur la protection de l’adulte (curatelles, placements à des fins d’assistance, directives anticipées, mandats pour cause d’inaptitude), ainsi que tout le droit successoral qui vise, en substance, à régler les rapports patrimoniaux entre des héritiers (testaments, règles de partage d’une succession et diverses actions du droit des successions).

Être avocat en droit de la famille

Autrement dit, être avocat en droit de la famille suppose d’avoir un certain nombre de qualités ou de valeurs (humanité, altruisme, confiance, écoute, rigueur et intégrité), d’avoir le sens de la relation d’aide à l’autre, un intérêt marqué pour des notions de psychologie et d’être apte à comprendre toutes les interactions et les enjeux familiaux, ainsi que les besoins et intérêts des divers membres d’une même famille.

Sur le plan de la compétence juridique, être avocat en droit de la famille nécessite de maîtriser toute la culture juridique du Code civil suisse (CC), les règles du droit international privé applicables lorsque l’on se trouve en présence d’éléments dits d’extranéité [à cet égard, on se référera en particulier aux diverses Conventions de La Haye, dont celle en matière d’enlèvement international d’enfants, à la Loi suisse sur le droit international privé (LDIP), à la Convention de Lugano (CL), ainsi qu’aux instruments européens de droit international privé)] et les règles du Code de procédure civile suisse (CPC).

L’avocat en droit de la famille fait aussi appel à des matières juridiques connexes comme le droit des contrats et des sociétés (régis par le Code des obligations suisse, CO), le droit de la poursuite pour dettes et la faillite (régie par la Loi sur la poursuite pour dettes et la faillite, LP), le droit immobilier (droit du bail et droit de la propriété), le droit fiscal, le droit pénal et le droit administratif.

Domaines d'actions

  • Mariages, partenariats, concubinages, séparations, divorces
  • Pensions alimentaires
  • Autorité parentale exclusive ou conjointe, garde alternée ou exclusive
  • Droit de visite usuel ou élargi
  • Contrats de mariage
  • Liquidation de régimes matrimoniaux et de rapports patrimoniaux entre conjoints ou concubins
  • Partage de prévoyance professionnelle (LPP)
  • Violences conjugales et domestiques
  • Discriminations familiales liées au genre
  • Droit de l’enfant
  • Enlèvement international d’enfants
  • Reconnaissance de paternité
  • Contestation de reconnaissance de paternité
  • Désaveu de paternité
  • Action en paternité
  • Action alimentaire
  • Adoption
  • Procréation médicalement assistée (PMA)
  • Curatelles et autres mesures de protection des mineurs
  • Placement de mineurs en famille d’accueil ou en foyer
  • Curatelles et autres mesures de protection des adultes
  • Mandats pour cause d’inaptitude
  • Directives anticipées
  • Placement à des fins d’assistance
  • Testaments
  • Partage successoral
  • Autres actions de droit successoral
  • Droit pénal relatif au droit de la famille
  • Reconnaissance et exécution de jugements étrangers
  • Médiation, conciliation et droit collaboratif

Autres domaines d'activités

Protection de la personnalité

Droit des poursuites

Droit pénal

Droit du travail

Droit administratif

Contacter Me Choffat